Il me suit quasiment dans tout mes déplacements professionnels, pose pour faire la promotion de certaines de mes créations. Les fans l'adorent. "Il", c'est Dalton. 100% pitre, 0% de complexe. Il méritait amplement d'avoir sa page et ce titre de mascotte (en attendant d'avoir sa propre BD).
Passionnée par le Pack-russel terrier. Je m'étais mise en tête d'économiser pour accueillir un chiot choisi avec soin dans un élevage sérieux. Évidemment rien ne se passa comme prévue. Et c'est très bien comme cela... ;) J'ai le projet d'avoir un deuxième jack, mais par pour tout de suite.
... (Joe) Dalton
Pour ma part, je pars du principe qu'un élevage digne de ce nom produit tout au plus une à trois races. Il offre un cadre de vie propice au bien-être de l'animal, il y a un suivit vétérinaire, une pré-sociabilisation pour les chiots qui ne sont sevrés qu'à l'âge de deux mois minimum afin que la mère ait le temps de leur apprendre "l'esprit de meute". Rien de tout cela n'est offert aux chiots naissant dans ces usines.
Des article très intéressant vis à vis de ces dernières ont été rédigés par l'association ONE VOICE. Je vous invite à les lire :
Son passé de chiot d'usine et une succession d'erreurs humaines lors de son éducation firent que son chemin et celui de ses maitres devaient se séparer afin qu'il reparte sur de bonnes bases tant qu'il était possible de le reprendre en main.
Mais
Dalton était aimé par ses maitres (ces derniers ont d'ailleurs des
nouvelles régulières de lui via ma page et son youtube), il était donc
hors de question qu'il finisse à la SPA. Finalement, Dalton
arriva chez moi en juin 2012.
Nous nous connaissions déjà un peu lui et moi. Il avait alors quatre
ans. En un an de vie commune, Dalton s'est métamorphosé (au grand
bonheur de ses premiers maitres). Le jack-guignol est passé d'état de
pile électrique à un petit chien débordant de malice et adorant
apprendre (moyennant quelques biscroc').
Passionnée par le Pack-russel terrier. Je m'étais mise en tête d'économiser pour accueillir un chiot choisi avec soin dans un élevage sérieux. Évidemment rien ne se passa comme prévue. Et c'est très bien comme cela... ;) J'ai le projet d'avoir un deuxième jack, mais par pour tout de suite.
Ci-dessous, deux chouettes élevages qui font du jack et que j'ai découvert lors de ma prospection :
Il était une fois ...
 |
| On sort ? |
Acheté
en animalerie, cette dernière le présenta à ses premiers maitres comme
un chiot de deux mois. Examiné par un vétérinaire, il se révélera
beaucoup plus jeune que prévu. Sur les papiers de Dalton, on peut y lire
Élevage [...]. Le nom est bucolique, j’imagine un endroit où il fait
bon vivre. Par curiosité, je vais
fouiner sur Google et finalement tombe sur un site. J'y apprend que
l'élevage où est né Dalton produit vingt-et-une races de
chiens ainsi que diverses races félines. Sans commentaires. Je comprend
mieux ses troubles du comportement vis à vis de ses congénères.
Pour ma part, je pars du principe qu'un élevage digne de ce nom produit tout au plus une à trois races. Il offre un cadre de vie propice au bien-être de l'animal, il y a un suivit vétérinaire, une pré-sociabilisation pour les chiots qui ne sont sevrés qu'à l'âge de deux mois minimum afin que la mère ait le temps de leur apprendre "l'esprit de meute". Rien de tout cela n'est offert aux chiots naissant dans ces usines.
Des article très intéressant vis à vis de ces dernières ont été rédigés par l'association ONE VOICE. Je vous invite à les lire :
C'est
la raison première pour laquelle je m’étais refusée d'acheter en
animalerie. Beaucoup de ces "peluches vivantes" si craquantes derrière
la vitrine finissent une fois adulte en refuges. Les
conditions de vie de ces pseudo élevages qui fournissent ces structures
donnent des chiots à la santé fragile et/ou au comportement instable.
Son passé de chiot d'usine et une succession d'erreurs humaines lors de son éducation firent que son chemin et celui de ses maitres devaient se séparer afin qu'il reparte sur de bonnes bases tant qu'il était possible de le reprendre en main.
Mais
Dalton était aimé par ses maitres (ces derniers ont d'ailleurs des
nouvelles régulières de lui via ma page et son youtube), il était donc
hors de question qu'il finisse à la SPA. Finalement, Dalton
arriva chez moi en juin 2012.
Nous nous connaissions déjà un peu lui et moi. Il avait alors quatre
ans. En un an de vie commune, Dalton s'est métamorphosé (au grand
bonheur de ses premiers maitres). Le jack-guignol est passé d'état de
pile électrique à un petit chien débordant de malice et adorant
apprendre (moyennant quelques biscroc').  |
| Oui, Dalton rapporte bien les bûches ^^ |
Il
garde une forte personnalité, a toujours trente-six choses à faire en
même temps et il me teste encore, cependant, nous avons réussi à
accorder nos violons. Je me suis adaptée à ses besoins et lui m'a
concédé quelques efforts de sa part.
Il y a encore du travail sur la planche concernant la sociabilisation mais ce n'est rien par rapport au tout début. Les sorties en extérieur avec des chiens dans les parages étaient des plus sportives. Aujourd'hui, je peux enfin le rappeler au pied en présence d'un congénère, bien qu'il faille insister pour que monsieur se bouge les fesses.
J'en profite pour remercier ses premiers propriétaires qui m'ont fait confiance et Raz, sans qui cette rencontre n'aurait été possible. Dalton garde le contact avec ses premiers maitres. Il est heureux de les retrouver lorsque nous leur rendons visite pour le café. Et ces derniers en le voyant évoluer ne regrettent pas leur décision de me l'avoir confier.
Je n'oublie pas Jean-Luc Fourtier et les éducateurs du club canin de Trégueux pour leurs précieux conseils.
J'essaye d'ailleurs d'amener Dalton en cours tout les samedi après-midi.
Je rajouterai que la plus belle preuve d'amour qu'un maitre puisse offrir à son chien, c'est de lui offrir coûte que coûte la meilleure vie possible, quitte à voir parfois leurs chemins se séparer (pour mieux se retrouver).
J'en profite pour remercier ses premiers propriétaires qui m'ont fait confiance et Raz, sans qui cette rencontre n'aurait été possible. Dalton garde le contact avec ses premiers maitres. Il est heureux de les retrouver lorsque nous leur rendons visite pour le café. Et ces derniers en le voyant évoluer ne regrettent pas leur décision de me l'avoir confier.
Je n'oublie pas Jean-Luc Fourtier et les éducateurs du club canin de Trégueux pour leurs précieux conseils.
J'essaye d'ailleurs d'amener Dalton en cours tout les samedi après-midi.
Je rajouterai que la plus belle preuve d'amour qu'un maitre puisse offrir à son chien, c'est de lui offrir coûte que coûte la meilleure vie possible, quitte à voir parfois leurs chemins se séparer (pour mieux se retrouver).
